Enfin chez soit !

Tony avait dit stop d’une voix forte et sévère. L’inconnu était maintenant devant une porte blanche (à noté que c’est la seule porte de cette couleur dans l’immeuble XD), puis s’approchant discrètement derrière l’inconnu, le mafieux fit glisser son bras lentement vers le haut juste à côté du corps de son vis-à-vis pour aller finalement attraper la poignet de la porte. D’un geste lent il ouvrit la porte et lorsque cela fut fait, il poussa l’inconnu à l’intérieur de l’appartement.
La première salle visible après un petit couloir, c’était le salon. La couleur dominante était le noire : les murs étaient noirs, les meubles étaient eux aussi noir, le sol était du parquet noir. En deuxième lieux venait le rouge, mais attention, pas du rouge vif et joyeux, du rouge sang…Les rideaux aux fenêtres étaient rouge, et des tapis aux sols étaient aussi rouge, il y avait aussi de petit coussin rouge accompagné par d’autre de couleur grise cette fois. Donc en résumé, le salon de Tony était tout ce qui y avait de plus…joyeux…pour un mort bien sûre…
Avançant derrière l’inconnu, ils arrivèrent dans le fameux salon. Soupirant un bon coup, Tony s’étira et enleva son long manteau qu’il posa négligemment sur le canapé, dévoilant alors un t-shirt noir moulant sans manche et un pantalon en cuir. Regardant l’inconnu, le mafieux s’approcha de ce dernier d’un pas rapide pour finalement l’attraper par le poignet et l’envoyer valdinguer dans l’un des fauteuils, puis s’approchant à nouveau de l’inconnu, il posa ses mains sur les accoudoirs du fauteuil pour l’empêcher de fuir.

« Maintenant, tu vas rester bien sagement là et moi je vais voir ce qu’on fait de toi…c’est bien compris ? »

Sur ces mots, il s’éloigna de l’inconnu et s’approcha du téléphone posé sur le buffet. Il fit un rapide numéro et mit le téléphone en haut parleur. Lorsque quelqu’un décrocha enfin, on entendit une voix féminine très douce.

« Allo ?? Tony, je sais que c’est toi…J’ai reconnu ton numéro…
-Qui veux-tu que ça soit Lina ? Ya que moi qui possède ce numéro.
-C’est vrai aussi…Bon je suppose que tu veux parler à mon cousin non ?
-C’est exacte
-…MAAAAAARC !!! C’EST POUR TOI !!!! »

On entend des pas à l’autre bout du combiné pour un merci discret.

« Oui !
-C’est moi Marc…
-Oh ! C’est rare que tu me téléphone, normalement c’est plutôt moi…
-Oui, mais là c’est pour vous demander quelque chose…
-Demande.
-Quelqu’un a entendu la fin de la discussion que j’ai eu avec vous après le boulot, j’en fais quoi ?? »

Tout en parlant Tony fixait l’inconnu de ses yeux couleur sang.

« Mmmmmm…Amène-le avec toi demain. On décidera de son sort. Si il est chez toi, fait le dormir dans ton appart.
-Très bien…Bon allé, bonne nuit Marc.
-Bonne nuit Tony. »

La discussion étant finie, Tony raccrocha et regarda l’inconnu d’un œil critique.

« Comment t’appelles-tu ? »

Furent les seul mots que prononça le mafieux quelques minutes après la fin de la discussion.

« Maintenant, tu vas rester bien sagement là et moi je vais voir ce qu’on fait de toi…c’est bien compris ? »

Après qu'il eu été envoyé valdingué dans tout les sens, Jessie atterie dans le fauteuil, et n'y bougea plus trop effrayé sur son sort pour oser bouger d'un pouce. Le mafieux eu alors une discution telephonique apparement avec la même personne que tantôt. Celle-ci lui disait alors de garder Jessie jusqu'au lendemain où il devrait suivre l'homme jusqu'a son travail. Le combiné raccroché, Jessie ne quitta pas l'homme des yeux se demandant bien ce qu'il allait dire ou faire à présent de son cas. Mais après l'avoir observé d'un aire critique pendant quelque temps, il demanda juste:

« Comment t’appelles-tu ? »

Alors Jessie cligna des yeux avant de repondre la voix faible et légèrement tremblante d'inquiétude.

"Jessie Mccrown... "

Il n'avait aps vraiment envie d'en dire plus, même s'il se doutait fort bien que son vis à vis ne serait certainement pas de cet avis. Cependant notre humalien a la cheveulure en cascade rouge sang se redressa dans le fauteuil en observant le decor ... lugubre de l'appartement. Il savait également que moins il posait de question sur ce qu'est cet homme, et plus il avait de chance de s'en sortir, c'est pourquoi il ne demandait rien. Mais après une minute de silence, sentant le regard pesant sur lui du mafieux, Jessie reporta son attention vers celui-ci. Les mots de la furie inidentifiable lui revinrent en mémoir... Qu'avait il voulut dire?

Tony avait écouté la réponse tremblante de l’inconnu. Jessie, jolie prénom…pour une fille bien sûre…Mais la personne qu’il avait en face de luit bel et bien un homme, même si il fallait l’avouer, ce dernier avait un physique plutôt féminin. Ayant eu sa réponse, le mafieux trouva fort impoli de ne pas se présenter à son tour. Prenant donc une voix calme mais froide et fixant Jessie, si se mit à parler.

« Je suppose que tu as du deviné comment je m’appelais. Tout le monde m’appelle Tony, c’est mon prénom et non pas un surnom ou nom de code comme certaine personne le pense, même si parfois je laisse croire le contraire…Mais en ce qui concerne mon vrai nom de famille, je le garde secret…on ne sait jamais… »

Sur ces mots, Tony se détourna de son « inviter » et entreprit de faire comme à son habitude, c’est-à-dire d’enlever son t-shirt noir, ne gardant ainsi que son pantalon comme vêtement et dévoilant par la même le tatouage situé dans son dos blanc, puis il se servit un verre de whisky. Alors qu’il buvait tranquillement, il sentit le regard de son interlocuteur se poser sur lui et le fixer intensément. Se retournant lentement, Tony fixa à son tour son vis-à-vis dans les yeux puis posant son verre complètement vide sur le buffet, il s’approcha du jeune homme d’une lenteur feinte.

« Qu’es-ce qu’il y a ? Tu te pose des questions sur moi ou…….sur mon corps ? »

En parlant un petit sourire pervers venait de glisser sur les lèvres du Tony qui, après une journée sans mangé où il avait fumé, fait du sport (et oui, courir après les traitres est un sport reconnu chez les mafieux XD) et bu, était déjà saoul…Car en plus de sa journée chargé, Tony ne tenait pas l’alcool et finissait très rapidement, pour ne pas dire instantanément, bourré…Les yeux sang du jeune mafieux fixaient ceux de Jessie avant de descendre sur les lèvres de ce dernier, lèvres qui tentaient assez Tony vu dans l’état dans lequel il était…

« Je suppose que tu as du deviné comment je m’appelais. Tout le monde m’appelle Tony, c’est mon prénom et non pas un surnom ou nom de code comme certaine personne le pense, même si parfois je laisse croire le contraire…Mais en ce qui concerne mon vrai nom de famille, je le garde secret…on ne sait jamais… »

Jessie savait bien qu'on devait souvent le prendre pour une fille, mais il avait hérité de la féminité de sa mère en même temps que de son statu d'alien. Cependant il faisait en sorte qu'on ne puisse le confondre avec une fille en etant habillé masculin. Chemise blanche, pantalon jean noir, basket... bracelet en cuir... il n'y avait que son visage, ses mains finement taillé, et ses long cheveux rouge auburn pour rappeler son androgyneté. Mais il s'inquietait surtou sur le fait que Tony ne semblait plus trop vouloir cacher le fait qu'il soit de la mafia. En effet, il venait clairement de sous entendre qu'il n'avait pas de nom de code et ne se protégait réelement que par son nom de famille inconnu! Mais... est-ce que cela n'etait pas mauvais signe pour Jess? Celui-ci vit Tony se déshabillé de son haut avant de boir un verre d'alcool. Il etait vachement musclé et bien sculpté! De quoi rendre pâle d'hébétitude notre humalien si frêle et fragile! Mais Tony se rendit compte du regard que lui portait son prisonnier...

« Qu’es-ce qu’il y a ? Tu te pose des questions sur moi ou…….sur mon corps ? »

Jessie sursauta envoyant qu'il etait si proche de lui et qu'il lui demandait une chose... gênante! Rougissant, notre humalien detourna la tête ne voulant pas affronter le regard sang du mafieux.

[b]"Je ne vois pas... ce que je pourais bien... me poser comme questions sur vous ou votre corps... vous devez faire erreur!"

À peine Tony avait-il parlé, que Jessie détournait déjà les yeux de lui. N’aimant pas ce comportement, le jeune mafieux attrapa le menton de son interlocuteur pour lui relever le visage et l’obliger à le regarder dans les yeux. C’était une habitude de Tony, il n’aime pas quand les gens lui parle sans le regarder face à face, pour lui, baisser les yeux est signe de faiblesse...

« En es-tu sûr…Jessie ? »

Toujours entrain de tenir le menton de Jessie dans la main, il ne laissa pas le temps à ce dernier de réagir en s’approchant de lui, collant leur deux corps puis en l’embrassant violement sous l’effet de l’alcool. Le baiser finit, il s’éloigna de Jessie pour se resservir un nouveau verre de whisky qu’il but d’une traite, puis il se retourna face à son « invité » et le détailla de la tête au pied en souriant.

« Au faite…Tu as entendus que je devais te garder ici…sache qu’il n’y qu’une chambre et qu’un seul lit…et je ne laisserais pas mon inviter dormir sur le canapé. »

Puis s’approchant, cette fois plus rapidement, il attrapa Jessie par le bras et l’entraina dans un autre petit couloir avant de tournée à gauche pour rentrer dans une pièce de couleur bleu foncé voir même bleu nuit…Un lit double était collé au mur sur la droite, une armoire était situé en face du lit et une fenêtre placé en face de la porte faisait passé la lumière dans la chambre.

« L’endroit où tu dormiras cette nuit…demain tu prendras des habits à moi, je pense qu’ils t’iront…a aussi, n’essaye même pas de t’enfuir par les fenêtres, elles ne sont là que pour fournir de la lumière…on ne peut pas les ouvrir ni les casser car ce sont des fenêtres pare-balles…Je te montrerais la salle de bain plus tard...pour l’instant on a plus important… »

Tony tira Jessie pour le faire tomber sur le lit. à partir de ce moment là, il approcha de plus en plus son corps et son visage de celui de son interlocuteur, fixant ce dernier de ses yeux rouge sang…

« En es-tu sûr…Jessie ? »

C'est alors que Tony se colla à lui et l'embrassa violement!! Jessie ne pus réagire de suite et rougissant d'autant plus, quand Tony le lacha:

« Au faite…Tu as entendus que je devais te garder ici…sache qu’il n’y qu’une chambre et qu’un seul lit…et je ne laisserais pas mon inviter dormir sur le canapé. »

*Oh non... qu'est-ce que... je vais faire?!* Le jeune androgyne deglutie en comprenant déjà ce que sous entendait son hôte tout en buvant un nouveau verre. Puis il revient vers lui et l'attira pour l'ammener à une chambre! La chambre! Puis il fit poussé sur le lit!

"...pour l’instant on a plus important… »

Le regard fixant de Tony, se raprochant toujours plus de Jessie, l'humalien se mis à bredouillé:

"Je ne pense pas que ce soit une bonne idée... "

Jessie se retrouva plaqué sur le lit, le mafieux au dessus de lui presque nu et bouré! Mais comment allait il résister maintenant? Il tenta alors de le repousser en mettant ses mains sur le torse de l'homme mais se contact le rendis encore plus gêné!

Jessie presque totalement sous lui, Tony le fixait toujours aussi intensément. Il rigola lorsque son interlocuteur essaya de le repousser en posant ses mains sur le torse du mafieux. à voir les rougeurs sur les visage de son « visiteur », ce dernier ne devait pas vraiment avoir l’habitude de ce genre de contacte…Brisant la maigre résistance et se rapprochant encore plus, Tony commença à faire glisser l’une de ses mains le long du bras de Jessie.

« Tu n’as pas l’habitude, pas vrai ? Ne t’inquiète pas, je serais doux… »

Écartant doucement les bras de son vis-à-vis, il se laissa presque tomber sur ce dernier, posant au dernier moment ses bras de part et d’autre de Jessie. Puis doucement il commença à embrasser le cou du jeune homme avec une douceur plutôt étonnante pour un mafieux qui passe son temps à tuer des gens. En parlant de tuer des gens, Tony avait complètement oublié de laver l’odeur de sang qui imprégnait son corps et ses habits, ses mains avaient, quand à elles, une odeur prononcé de poudre, du à l’utilisation répété d’un révolver…
Relevant doucement la tête, il plongea ses yeux dans ceux de Jessie qui ne semblait plus vraiment quoi dire ou quoi faire…ce qui amusait fortement le jeune mafieux. Malheureusement pour lui et heureusement pour Jessie, quelqu’un sonna à la porte. C’est grognant que Tony alla ouvrir la porte. Jim rentra dans le salon tel une furie, les bras chargés de vêtements et de nourriture.

« Marc m’as dit que le jeune homme qui te suivait était ton invité, et comme tu ne fait jamais les courses et que tu ne sais pas faire la cuisine, j’ai pensé que je pourrais venir à la rescousse »

Un grand sourire illuminait le visage de Jim. Il était rare qu’il puisse rentrer dans l’appartement de celui qui était en quelque sorte son amant…Le foudroyant, Tony grogna une nouvelle fois avant de lui désigner la cuisine et la chambre. Couper dans son élan, le Mafieux se servit un troisième verre de whisky et le savoura en s’installa dans l’un des fauteuils tandis que Jim posait les aliments dans la cuisine puis les vêtements dans la chambre. Il tomba alors nez à nez avec Jessie encore complètement hébété…

« Tu n’as pas l’habitude, pas vrai ? Ne t’inquiète pas, je serais doux… »

Mais alors que Jessie se sentait completement perdu sous les baisers et caresses de Tony devenu doux avec lui, un bruit retenti dans l'entrée. Abandonnant Jessie dans la position où il se trouvait, en hébétitude total, Seul sur le lit, rougis par la honte et le debut de plaisir ressenti, l'humalien se redressa et s'assis en baissant la tête.

"Comment je vais faire... je suis pas assez fort pour résister en plus..."

Mais il reconnu alors la voix du truc inidentifiable qui leur avaient sauté dessus dans l'escalier. Il lui devait une fière chandelle!

« Marc m’as dit que le jeune homme qui te suivait était ton invité, et comme tu ne fait jamais les courses et que tu ne sais pas faire la cuisine, j’ai pensé que je pourrais venir à la rescousse »

Après une petite minute sans bruit ni rien d'autre que le sons de sa propre respiration, le jeune homme entra dans la chambre où se trouvait déjà Jessie toujours hébété. Là il releva la tête et croisa le regard de celui-ci. Il deglutie alors. Ce type etait probablement le petit ami de Tony serait il jaloux de voir l'androgyne dans son lit? Jessie se releva alors brusquement en rougissant.

"Pa..pardon!"

Alors que Tony buvait son verre de whisky en ronchonnant, Jim, lui, observait le jeune homme en face de lui puis sans dire un mot il lui fit un sourire d’une douceur étonnante. Jim s’approcha du lit et posa les vêtements à côté de Jessie.

« Pas la peine de t’excuser, j’ai l’habitude avec Tony, je le vois parfois revenir avec un homme ou une femme. Ce que je reproche à Tony, c’est que parfois ses partenaires ne sont pas très beaux, mais toi…tu es superbe ^^Ah ! Au faite, je me présente, Jim Sanders…je suis…comment expliquer ce que je suis… »

Tony arriva derrière Jim les joues rougit par l’alcool. Il attrapa le jeune homme par la taille et expliqua à Jessie

« C’est un espion, un informateur, un homme à tout faire, une femme de ménage, de repassage, mon « amant », c’est aussi le concierge, même si son appartement est ici et pas en bas… »

Se retournant et plaçant ses bras autour du cou de Tony, Jim se mit à rigoler

« En effet, je suis tout ça…et encore…il n’a pas tout dit, je fais tellement de travail »

Doucement il caressa le torse dénudé du mafieux avant de se retourné vers le jeune invité, puis se détachant à regret de son « amant » et s’approchant de Jessie en lui désignant les vêtements posé sur le lit.

« C’est pour toi ^^ je pense qu’ils t’iront bien, au pire, tu viendras en prendre d’autre chez moi parce que ceux de Tony sont triste je trouve
-Désolé d’aimer le noir…
-Ne soit pas désolé, ça te donne un charme fou !
-Si tu le dit, je les prends surtout pour ne pas trop me faire remarquer moi… »

Sur ces paroles, le mafieux retourna dans le salon où il se reposa dans un fauteuil puis il fermi lentement ses yeux rouge.

Sauver par le gong? Peut être que Jessie avait une belle etoile au dessus de lui finalement... Il rougi en apprenant que Jim etait l'amant de Tony et que celui-ci ne se gênait absolument aps pour le tromper ouvertement. Mais peut être leur relation etait purement sexuel et qu'il n'y avait pas de sentiment? C'etait possible aussi... Mais l'humalien ne comptait pas s'éterniser sur la question. De tout façon il etait hors de question qu'il ne se passe quoique ce soit avec cet homme qui lui etait inconnu et qui ne lui demandait pas son avis! Cela s'appelait le viole! Mais après tout Jessie ne le savait pas non plus ce detail là... Il avait été conçu par les hommes pour les hommes et ne connaissait que la lois de la cacahouette. Si tu es sage... tu as une recompense. Si tu obéis tu as une recompense... si tu ne fait pas ce qu'on te demande... tu es punis. Voilà ce qu'il vivait depuis sa naissance. Mais il n'avait connue rien d'autre. Et pour lui c'etait donc normal de se plier aux exigences des humains et surtout des scientifiques... Même si cela lui faisait parfois mal au coeur. Sortant de ses pensées, Jessie regarda les vêtements que lui prêtait Jim et en deplia quelques un pour voir si la taille allait. Oui c'etait à peu près ca!

"Merci beaucoup Jim... "

Le jeune androgyne au long cheveux cascadant dans son dos et sur son buste n'avait cependant pas envie de retourner au salon au risque de croiser encore Tony... et de rougir encore de honte. Il féignit alors la grosse fatigue et se couchat. En souhaitant que le mafieux ne profiterait aps de lui durant son sommeil.

Tony était tranquillement installé dans son salon pendant que Jim s’occupait de son « invité ». Les yeux fermé, il finit par s’endormir. La journée avait été longue, la nuit aussi…Le jeune mafieux était plus que crevé. Malheureusement pour lui, sa sieste ne dura que quelques minutes, car Jil s’afférai à préparé un bon petit repas. Grognant, il réussit à se lever pour prendre la direction de sa chambre. La première chose qu’il vit, ce fut la masse rouge étalé sur son lit. S’approchant et poussant délicatement cette masse, il s’allongea à son tour sur le lit pour pouvoir dormir.

« Ton… »

S’approchant doucement du lit, Jim passa sa main dans les cheveux du mafieux en souriant, puis soupirant et souriant, il déposa un baiser sur les lèvres de ce dernier avant de se relever et de faire « chut » avec ses lèvres à Jessie. Retournant dans la cuisine, il continua de préparer à manger pour des deux jeunes hommes allongés sur le lit.
Tony de son côté, parla un peu dans son sommeil, revivant une expérience horrible qu’était le viole de son père…

« non..non..NON !!! Papa !! lâch…lâche-moi !!! Je su…suis pas mam…maman !!!! NOOON !!! »

Jim arriva en courant alors que Tony se réveilla en sursaut, haletant, de la sueur dégoulinant sur son visage et son torse. Fermant les yeux, il fit signe à Jim que c’était bon, qu’il allait bien, mais ce dernier s’approcha et prit dans ses bras le mafieux encore sous le choque de son cauchemar…

« non..non..NON !!! Papa !! lâch…lâche-moi !!! Je su…suis pas mam…maman !!!! NOOON !!! »

Un crie le reveilla alors brusquement juste quand Jessie commatant allait s'endormir. Se redressant alors crispé par la peur et le reveil soudain, il regarda qui etait la cause de son tourmant et vi... Tony. Qu'avait il? L'humalien pu admirer un mafieux caliné par son amant dans le noir. Il avait fait un cauchemar? Etait-ce possible de la part d'un mafieux de faire des mauvais rêves alors qu'il vois bien souvent des affreusitées dont il est l'auteur en permanence? Surpris Jessie n'osa rien demander de peur d'être réprimandé. Vive le conditionnement et la séquestration à vie... Cela permettait quand même de rendre certaines personnes complètement soumisent à la société. Mais ce ne sont pas les scientifiques et les mafieux qui allaient s'en pleindre. Se relevant alors Jessie s'assis en tailleur et regarda baissa la tête pour ne pas regarder la scène intime dans laquel il etait entrainné sans nécessairement le souhaiter. Ne disant rien pour ne pas se faire remarquer. Une fois le reconfort fait, Jessie releva enfin la tête vers les deux tourteraux et timidement:

"Ça va?"

Il n'avait pas trop compris à son reveil ce qu'il s'etait passé, mais après en se remémorant les paroles de Tony, il réalisa ce que cela signifiait. Mais la question etait: est-ce que le père du mafieux avait réellement abusé de lui enfant?

Tournant la tête vers Jessie qui venait de lui poser une question, le jeune mafieux fit signe que oui puis il se rallongea après avoir embrassé dans le cou Jim qui frissonna au contacte de ses lèvres. Le corps de Tony était humide et brillant à cause de la fine couche de sueur qui le recouvrait. Voyant son ami se rallonger, Jil repartit dans la cuisine où il continua de préparer à manger. Pendant se temps le mafieux se remémorait son rêve…Il avait vu en flash un homme : son père, rentrant dans sa chambre, s’approchant lentement avant de lui sauter dessus et lui arracher ses vêtements…Encore marquer par cet évènement, il ramena sa main sur son visage pour en cacher l’expression à Jessie qui était sûrement encore entrain de le regarder. À la fin, il finit tout de même par tourner la tête vers le jeune homme.

« Si tu dormais je suis désolé…ça fait un moment que je n’avais pas fait ce cauchemar… »

Tony finit par se mettre débout. Il enleva son pantalon sans faire attention à la présence de Jessie, posant son vêtement sur le bout de son lit avant de se tourner.

« Je vais à la douche…Quand je reviendrais, tu pourras y aller si tu veux… »

Sur ces mots, il prit la direction de la salle de bain, laissant seul dans la chambre Jessie. Arrivé dans la pièce, il enleva son boxer et alluma la douche, faisant couler une eau bien chaude qui lui brula presque la peau. Il resta en dessous pendant de longues minutes, lavant son corps de la sueur et de l’odeur du sang. Il finit par sortir, attrapant une serviette qui enroula autour de sa taille. Il retourna alors dans la chambre, les cheveux encore complètement trempé faisant tombé des gouttes d’eau sur son torse musclé…

Vraiment perplexe de le voir, lui si fort, dans une telle situation de detresse, Jessie aquiéça silencieusement et se r'alongea dans le lit en attendant son retour. Il pu tout de même appercevoir un petit peu le corps magnifiquement sculpté de Tony alors que celui-ci allait à la salle de douche. Une fois seul, l'humalien soupira et ferma les yeux pour essayer de se r'endormir... Mais c'etait difficile. Sa journée, sa vie... sa soirée... tout deffilait devant ses yeux sans qu'il ne sache trop quoi penser. Esclave des humains... voilà ce qu'il etait... Condition pitoyable.

Quand Tony revient quelques temps après, trempé, les cheveux degoulinant sur son torse musclé, et une serviette pour cacher sa tenu d'adam. Il etait vraiment beau malgré son caractère instable. Jessie ouvris un oeil et tomba sur ce spectacle troublant. Vraiment il ne savait aps du tout quoi penser et se redressa pour demander timidement:

"Vous... avez encore besoin de la douche ou je peux y aller maintenant?"

(pardon c'est court)

Rentrant tranquillement dans la chambre, il acquiesça lorsque Jessie lui demanda si il pouvait aller à la douche.

« Ah, une chose…L’eau doit être bouillante, fait attention à pas brûler ton superbe corps…ça serai dommage. »

Il fit un clin d’œil à Jessie en s’approchant tranquillement de l’armoire, il ouvrit cette dernière et choisit un pantalon noir puis il prit un nouveau boxer dans la commode situé à côté de l’armoire. Gardant sa serviette autour de sa taille, il enfila le boxer. Lorsque ce fut fait, il fit tomber la serviette à ses pieds et entreprit d’enfiler le pantalon. Ça de fait, il se rallongea sur le lit en attendant que Jessie ai prit sa douche. Il se mit alors à réfléchir sur son cauchemar…

*Pourquoi es-ce que je l’ai fait alors que ça ne m’était pas arrivé depuis plus de 2 ans…Bon c’est pas grave, je prendrais des somnifères si il faut que je dorme. *

Fermant les yeux, il ne fit pas attention si quelqu’un, en l’occurrence Jessie ou Jim, rentrai dans la chambre, chose où normalement il était attentif, car lorsqu’on est un mafieux, on ne sait jamais quand on va se faire attaquer et vos donc mieux toujours être sur ses gardes…

« Ah, une chose…L’eau doit être bouillante, fait attention à pas brûler ton superbe corps…ça serai dommage. »

Au clin d'oeil Jessie rougis et sortit alors du lit pour se rendre dans la salle de douche qu'il ferma pour plus d'intimitée. Une fois dedans, il regarda la pièce. C'etait simple... noir, carrelé du sol au plafond, avec une cabine de douche dans un angle et un lavabo en face, un mirroire au dessus du lavabo et un double WC à côté... un petit meuble en bois composé contenant serviette et gant... Pas grand chose d'extraordinaire. Et sombre comme tout le reste de l'appartement. Jessie pris une serviette et du savon, et du shampoing parmis les étagères... puis regardant vers la porte, il soupira et se deshabilla. Complètement nu maintenant, il entra dans la douche vérifia la temperature du jette d'eau et alluma le bouton. L'eau tiède fouetta son visage. Cela faisait un bien fou à notre ami humalien. L'eau etait un bon moyen de se purger et d'oublier les soucis pour Jessie... il aimait cet éléments vital. Après s'être lavé, shampouiné, et rincé, le jeune homme au long cheveux burn noirci par l'eau s'enroula dans une serviette lui aussi. Sauf qu'il avait oublié un detail... il n'avait pas de vêtements de rechange. Et c'est hébété qu'il entrouvris la porte de la salle de douche pour passer la tête par l'entrebaillement et regarder Tony sur le lit.

"Heu je... je n'ai pas de vêtements de rechange... "

Il rougi vraiment gêné.

Tony ne sursauta pas mais fut tout de même surpris en entendant la voix de Jessie. Rouvrant les yeux et tournant la tête, il aperçut le visage rougit de son « invité ». Souriant et rigolant à moitié, il attrapa un des ensembles prêté par Jim puis il alla chercher un boxer dans la commode.

« Tient…Tu pourras garder le boxer après… »

Après lui avoir passé les affaires, le jeune mafieux retourna s’allonger sur le lit et attrapa un livre qui trainait sur sa petite table de nuit. Le titre du livre étant Le frère de sang. Un roman policier parlant des franc-maçon et de l’histoire de Nicolas Flamel et de l’alchimie. Un peu paradoxale pour un mafioso de lire un roman policier. Bon bien sûre, Tony était plus pour l’assassin que pour le commissaire Antoine Marcas…Il était maintenant arrivé à la moitié du roman, il profita que Jessie soit encore dans la salle de bain pour lire un peu. Dés que le jeune reviendrait, il m’emmènerait dans la cuisine pour qu’ils mangent un bout en compagnie de Jim. De temps en temps sa voix se faisait entendre dans la pièce, lisant certain passage du livre.

« L’alchimie a été une quête illusoire, une rêverie balayée par la chimie et le progrès. On n’a jamais vu un alchimiste réussir son coup…Tu m’étonne, l’alchimie ce n’est qu’une connerie… »

Reposant la livre sur la table, il glissa ses bras sous sa tête et referma les yeux…

[Le livre que j’ai cité existe vraiment…Si il vous intéresse demandez moi des renseignements sur les auteurs (oui ils sont plusieurs) et je vous annonce qu’ils ont écrits quatre livres au total ^^]

Gêné Jessie se renferma dans la pièce d'eau pour s'habiller tranquillement. Il enfila le boxer noir et mis alors l'uns des enssemble ammené par Jim l'amant de Tony... C'etait un enssemble Jean délavé et Chemise debraillé qui allait à merveille avec le style androgyne de notre ami Humalien. Une fois habillé, ses long cheveux essoré, séchant doucement dans son dos, Jessie sortit enfin de la salle de douche. Là il entendi Tonyparler tout seul et souleva un sourcil en ecoutant ce qu'il disait. Le mafieux parlait d'alchimie... Regardant alors dans sa direction, Jess vis qu'il lisait un roman apparement assez complexe. L'humalien ne lisait pas beaucoup... trop occupé à tenter de fuire et à s'instruire par d'autre moyen que la lecture. C'etait un tord sans doute... mais rien que la vue d'un volume de 300 pages le decourageait... Moins à la limite... mais là c'etait trop pour lui. Tony rangea son bouquin et mis ses bras derrière sa tête pour se reposer, Jessie timidement fini de mettre a sécher les serviettes de bain et revint vers le lit où il s'assit.

"Merci pour les vêtements."

Son ventre gargouilla alors avec puissance. Rougissant Jessie grimaça et baissa les yeux vers l'endroit où se situait son estomac. L'organe trahissant ainsi la faim qu'éprouvait l'invité de Tony, se fit de nouveau silencieux... attendant surement qu'ont reponde a son attente de nutriment. Mais pour qui se prenait il pour ainsi trahir son propriétaire? Bon certes ce n'est qu'un simple estomac reclamant sa gamelle... Mais Jessie etait quand même assez grand pour savoir s'il avait faim ou non et s'il avait envie de reclamer de la nourriture a son hôte ou non. Et là en locurence il n'avait pas envie de demander à Tony de lui donner à manger, alors que celui-ci voulait dormir de toute évidence et que Jessie etait en très mauvaise position pour exiger quoi que ce soit!

Alors qu'il se repossait un peu, les yeux fermés, il sentit la présence de Jessie venir s'asseoir sur le lit à côté de lui. C'est à ce moment qu'un bruit de gargouille se fit entendre...Tony, qui normalement gardait son sérieux, ne put réprimer un sourire. Ouvrant les yeux et se redressant, il regarda Jessie dans les yeux puis il quitta le lit pour se diriger vers la porte.

"Bon tu te dépêches où je vais manger tout seul ???"

Sur ces mots, il quitta la pièce et prit la direction de la cuisine où le couvert était déjà mit, un plat fumant de tagliatelle était au milieu de la table, juste à côté se trouvait une sauce carbonarra à la jim, c'est-à-dire qu'il n'y avait pas de lardon mais des morceaux de jambon, de la crème, du gruyère... Le mafieux attendit que son invité daigne se montrer dans l'embrasure de la porte pour commencer à manger. Attrapant les pâtes, Tony se mit à servir les deux autres compères pour se servir en final. S'endormant un peu sur la table, il attendait que Jessie vienne dans la cuisine. Jim juste derrière lui, s'occupait de nettoyer les poêle, casserols et autre ustensile en attendant l'arrivé du jeune invité...

"Tony, je lui ai même pas demandé si il aimait ou pas les pâtes !!
- Pas grave, il mangera ce qu'il y a, un point c'est tout..."

Jessie rejoint finalement les deux autres à la cuisine et s'assis timidement. Là il senti bien qu'il etait attendu et se rependi en escuse.

"Pardon pour le retard..."

Hébété il regarda son assiette remplis d'un delicieux repas plus qu'appetissant. Certes ce n'etait que des pâtes. Mais il avait rarement eu ledroit à tant de quantité dans son assiette. Souvent lanourriture servait à fair du chantage au scientifiques et le jeune humalien se retrouvait privé d'alimentation plusieurs jours... Alors un plat si plein c'etait quelque chose à fêter. Heureux Jessie commenca a manger une fois que Tony eu lui même commencé et savoura son repas avec une joiepeu connaissable pour lui.